À LA POURSUITE d’Octobre Rose

Comme chaque année, notre réseau de pharmacies Kôté Santé participera à la campagne Octobre Rose. Comment ? En relayant les messages de prévention et en mettant en avant les dispositifs et gammes de soins dédiés à l’accompagnement des malades. Kôté Santé s’engage contre le cancer du sein !

Comme chaque mois d’octobre depuis maintenant trente-et-un ans, une grande campagne de communication aura pour objectif de sensibiliser, partout dans le monde, les femmes à l’importance du dépistage du cancer du sein. Apparue aux Etats-Unis en 1985, cette manifestation a été déclinée pour la première fois en France en 1994, sous le nom d’Octobre Rose. Initiée à l’origine par le groupe Estée Lauder et le magazine Marie Claire, la campagne est aujourd’hui organisée par plusieurs organismes qui luttent contre le cancer du sein. Elle est également l’occasion de récolter des fonds utiles à la recherche médicale, en particulier lors d’événements caritatifs (courses à pied, ventes aux enchères…).
Du 1er au 31 octobre, le fameux Ruban rose sera donc déployé dans les officines Kôté Santé. Notamment celles qui se sont spécialisées dans l’oncologie et l’accompagnement des femmes atteintes d’un cancer du sein ou ayant subi une ablation partielle ou totale de l’un ou des deux seins. Dans des espaces cosy dédiés, celles-ci peuvent y essayer en toute sérénité et en toute bienveillance prothèses, turbans, perruques, lingerie et autres maillots de bain adaptés.

Octobre Rose est une campagne essentielle à bien des égards. Saviez-vous que, dans notre pays, plus de 60 000 nouveaux cas de cancer du sein sont diagnostiqués chaque année ? Soit un tiers des cancers féminins. Près d’1 femme sur 8 risque d’être touchée au cours de sa vie par ce cancer qui constitue la première cause de mortalité féminine en France, avec environ 12 000 décès par an.

Opération dépistage

Un dépistage précoce et régulier apparaît donc indispensable pour sauver un maximum de vies. Pourtant, alors que 80 % des cancers du sein se développent après 50 ans, 1,3 million de Françaises de 50 à 74 ans n’ont jamais participé à un dépistage. L’âge médian du diagnostic est de 64 ans. Absence de s ymptômes ? Peur d ’avoir mal ? Crainte du diagnostic ? Manque d’information ? Peu importe la raison. Toujours est-il que les instances médicales conseillent aux femmes de s’autosurveiller (en cas de doute, contactez un médecin) et de consulter un médecin (ou une sage-femme) au moins une fois par an à partir de… 25 ans !

Entre 50 et 74 ans, une opération de dépistage organisée existe depuis 2004. Tous les deux ans, vous recevez à votre domicile un courrier vous invitant à vous rapprocher d’un radiologue agréé afin de réaliser un dépistage du cancer du sein, comprenant un examen clinique et une mammographie. Dans certaines situations, une échographie des seins est parfois nécessaire. Le dépistage organisé est pris en charge à 100 % par l’Assurance maladie, sur présentation du bon de prise en charge et du courrier. Si une mammographie a été réalisée il y a moins de deux ans, il n’est pas nécessaire de programmer cet examen. Il suffit
d’indiquer la date de cette mammographie dans le questionnaire reçu avec le courrier, et d’en informer son Centre régional de coordination des dépistages des cancers. La prochaine invitation sera envoyée deux ans après cette date. Après 75 ans, le suivi médical se fait en lien avec le médecin traitant, en vue d’identifier les risques et l’intérêt de pratiquer une éventuelle mammographie.
Détecté assez tôt, le cancer est en général plus facile à traiter, avec moins de risques de séquelles, un meilleur résultat thérapeutique et donc une augmentation des chances de guérison. D’ailleurs, connaissez-vous le taux de survie des patientes quand le cancer est diagnostiqué et pris en charge au stade localisé ? Il est de 88 % ! De quoi voir la vie… en rose !

FRESUBIN, L’ALLIÉ CONTRE LA DÉNUTRITION

Baisse de l’efficacité des traitements, hausse du risque de complications, complication de la cicatrisation, perte d’autonomie, impact sur le moral… Les conséquences potentielles et néfastes de la dénutrition chez les personnes atteintes d’un cancer sont nombreuses. Or, en France, 40 % des malades en souffriraient. On parle de dénutrition lorsque les apports alimentaires en protéines et/ou en énergie sont insuffisants pour assurer le bon fonctionnement du corps et couvrir ses besoins. En cas de dénutrition, la stratégie de prise en charge nutritionnelle recommandée repose sur 3 piliers :

Des conseils nutritionnels et une alimentation enrichie en première intention.

Une complémentation nutritionnelle orale, si besoin. C’est là qu’interviennent, sous contrôle médical, les compléments nutritionnels oraux Fresubin Intense Drink. A la vanille, à la noisette, au capuccino… Quel que soit le parfum, il s’agit ici de denrées alimentaires destinées à des fins médicales spéciales, pour les patients à risque de dénutrition, légèrement voire modérément dénutris.

Enfin une nutrition artificielle en dernier recours.

L’accompagnement nutritionnel fait partie des soins de support en oncologie, et est à ce titre reconnu comme indispensable dans la prise en charge globale des patients atteints de cancer.

Même, pour elles

« Même malade, je m’aime, on m’aime ! » Le slogan de la gamme résume l’ambition de Judith et Juliette, les deux associées qui ont créé, en 2017, la marque dermo-cosmétique Même : préserver et valoriser la féminité des femmes dont la peau a été fragilisée par les traitements contre le cancer. Pour plus d’estime
de soi et pour mieux se battre contre la maladie. En effet, chimiothérapie ou radiothérapie par exemple engendrent des effets indésirables fréquents au niveau de la peau, qui peuvent s’accompagner d’une souffrance physique et psychique et avoir un retentissement important sur la qualité de vie des patients. Or, l’amélioration de la qualité de vie des patients est aujourd’hui un défi thérapeutique.

Visage, corps, cheveux, cuir chevelu, ongles, mains, pieds… La gamme Même offre un large éventail de soins, de produits de beauté et de cosmétiques conçus spécialement pour répondre à tous les effets secondaires indésirables des traitements. Fabriqués en France, les produits Même utilisent des ingrédients les plus sûrs et les plus naturels possible, qui s’adapteront à toutes les peaux sensibles. Dont évidemment celles des personnes en bonne santé ! Et, parce qu’au-delà de la beauté et de la qualité de vie dermatologique, il faut aussi faire avancer la recherche contre le cancer et le mieux-être des patients pris en charge en France, Même reverse 1 % de son chiffre d’affaires à Unicancer afin de l’accompagner dans ses actions pour l’amélioration des soins, de la recherche et de l’enseignement en cancérologie.