DIABÈTE Un mois pour savoir

Le 14 novembre, la Journée mondiale du diabète rappellera que cette maladie chronique touche 400 millions de personnes. Dont plus de 80 000 à La Réunion ! L’enjeu de santé publique est tel que le réseau Kôté Santé et son partenaire LifeScan ont décidé d’aller plus loin en permettant aux Réunionnais, tout au long du mois de novembre, de se faire dépister gratuitement dans nos pharmacies. Car beaucoup de diabétiques
ne savent pas qu’ils le sont…

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comme le nombre de Réunionnais et de Réunionnaises (il s’agit de femmes à 54 %) qui, selon l’Agence régionale de santé, ont été pris en charge pour diabète en 2020. Soit presque 1 Réunionnais sur 10 ! La Réunion est la région de France la plus touchée. Environ 35 % des 65 ans et plus sont concernés, et le nombre de patients a augmenté en moyenne de 3 % par an entre 2015 et 2020.

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comme la proportion de personnes souffrant de diabète mais jamais dépistées. C’est une maladie silencieuse qui se développe souvent sans symptômes. En France, 700 000 personnes seraient diabétiques sans le savoir. Rapporté à la population réunionnaise, cela fait de 10 000 Réunionnais environ des diabétiques qui s’ignorent.

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comme les types de diabète qui existent. Le diabète est une maladie chronique qui, une fois déclarée, perdure tout au long de la vie. Elle se caractérise par un taux de sucre dans le sang (glycémie) trop élevé, notamment en raison d’une insuline insuffisamment sécrétée par le pancréas. Or l’insuline est l’hormone qui permet au corps d’assimiler correctement le sucre pour le transformer en source d’énergie. Dans le diabète de type 1 (qui touche principalement les enfants, adolescents et jeunes adultes), le corps ne produit plus d’insuline. Pour survivre, des injections quotidiennes sont dispensées au malade. Dans le diabète de type 2 (observé majoritairement chez les personnes de 40 ans et plus), le corps produit l’insuline mais elle est inefficace. Si la maladie n’est alors pas prise en charge, elle s’aggrave avec le temps. Enfin, un diabète dit gestationnel concerne la femme enceinte qui développe une intolérance au glucose et par conséquent une augmentation de la glycémie. Au risque d’entraîner de l’hypertension artérielle, un accouchement prématuré ou encore une rupture prématurée de la poche des eaux.

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comme le nombre de grammes par litre de sang qui constitue le palier au-delà duquel le diabète est confirmé. Si la glycémie est comprise entre 1,26 g/l et 2 g/l, une nouvelle analyse est demandée. Si celle-ci dépasse encore 1,26 g/l, alors le diabète est confirmé. Si la glycémie est comprise entre 1,10 g/l et 1,25 g/l, vous êtes pré-diabétique et vous devrez
refaire un test de dépistage et de surveillance un an après. En dessous de ces seuils, vous n’êtes pas diabétique. Mais refaites-vous dépister régulièrement, notamment si vous êtes à risque : prédisposition génétique (un parent proche est porteur d’un diabète, de type 1 ou 2), et pour le diabète de type 2, surpoids, sédentarité, manque d’activité physique,
hypertension artérielle, tabac… Cicatrisation ralentie, perte de la vue, insuffisance rénale, AVC… Contracter un diabète, de type 1 ou 2, est loin d’être anodin. Et peut même se révéler fatal ! Alors faites-vous dépister au moyen d’une petite piqûre indolore au bout du doigt afin de prélever une goutte de sang pour mesurer la glycémie. En quelques
secondes, l’appareil détermine le taux de sucre. Une bandelette urinaire ou une prise de sang à jeun peuvent également être utilisées. En cas de suspicion à l’issue du dépistage, allez consulter au plus vite son médecin traitant afin de confirmer (ou d’infirmer) le diagnostic.

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Avec le lecteur de glycémie OneTouch Verio Reflect® vous pouvez tout de suite comprendre si votre glycémie se situe en dessous, dans votre objectif… ou au-dessus…

Il vous encourage, vous fournit des informations et vous propose des conseils.

CAPTEUR PROTECT, UN SACRÉ PLUS AU QUOTIDIEN

Il est loin le temps des piqûres à répétition pour les personnes atteintes de diabète. Désormais, grâce au capteur freestyle libre, le taux de glucose est mesuré de manière continu pendant 14 jours, et ce sans intervention humaine. Porté sur le haut de l’arrière du bras, ce capteur est censé résister à l’eau et aux efforts sportifs. Atout indéniable du quotidien des
diabétiques, une tendance au décollement a toutefois été constatée dans certaines situations, engendrant des erreurs de transmission des résultats. Les patchs CAPTEUR PROTECT ont alors été imaginés par un laboratoire français pour protéger le capteur freestyle libre. Résistant à l’immersion dans l’eau et à l’acidité de la transpiration, ce patch de protection offre pendant deux semaines un maintien efficace au capteur freestyle. Et ce même en nageant ou en courant ! Le patch CAPTEUR PROTECT offre sécurité, confort et discrétion en faisant oublier la présence du capteur freestyle au diabétique et aux personnes qui l’entourent.

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